Soa Ratsifandrihana Fampitaha, fampita, fampitàna
lieu
durée
1h30
catégorie
- Danse |
- musique live
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20h30
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19h30
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19h30
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17h00
Avec Fampitaha, fampita, fampitàna, signifiant la comparaison, la transmission, la rivalité en malgache, la chorégraphe Soa Ratsifandrihana fabrique une histoire qu’elle aurait aimé entendre et voir. Entre récits radiophonique, musical et chorégraphique, ce spectacle diasporique joue entre oralité et mouvement, pour nous rappeler que nos corps, au même titre que nos paroles ou nos sons, portent des histoires. Soa s’entoure du guitariste Joël Rabesolo et des performeur.euses Audrey Merilus et Stanley Ollivier, avec qui elle voyage vers une errance, une créolisation peut-être.
« La créolisation emporte ainsi dans l’aventure du multilinguisme et dans l’éclatement inouï des cultures. Mais l’éclatement des cultures n’est pas leur éparpillement, ni leur dilution mutuelle, il est le signe violent de leur partage consenti, non imposé. »
Philippe Noisette
Dans le quator Fampitaha, fampita, fampitàna la chorégraphe Soa Ratsifandrihana et trois comparses créent une communauté d’artistes issus de la diaspora de territoires colonisés. Leurs corps raconte leur histoire, à travers danse et musique, et imaginent un futur émancipateur. → lire l'intégralité de l'article de Belinda Mathieu, sceneweb
La danse comme transmission de l'histoire des origines, voir l'article de Rosita Boisseau, Le monde
Dans une pièce qui magnifie la réappropriation des gestes ancestraux, la chorégraphe malgache Soa Ratsifandrihana trouve une forte inspiration à partir de racines enfouies.→ lire l'intégralité de l'article de Muriel Steinmetz, l'humanité
S’émanciper du carcan académique et inventer une danse à soi, fière et décoloniale : telle est la feuille de route de Soa Ratsifandrihana dans Fampitaha, fampita, fampitàna, sa première création de groupe. Un quatuor joyeux et solaire qui fait parler la danse pour combler les trous de l’histoire. → lire l'intégralité de l'article de Zineb Soulaimani, Mouvement
Lire l'interview réalisée par Thomas Hahn pour le Festival d'Automne à Paris (page 3)
Bruzz / Interview
Conversation avec Soa Ratsifandrihana, podcast Le Beau bizarre #68 par Zineb Soulaimani → écouter
Aller plus loin
C’est le premier chapitre d’un diptyque complété par le spectacle chorégraphique et musical "Fampitaha, Fampita, Fampitàna".