(LA)HORDE Marry Me in Bassiani

Le collectif (LA)HORDE explore les liens entre danse et contestation. Inspiré par une rave géorgienne de 2018, ce spectacle mêle ballet, techno et engagement politique. Il retrace l’histoire de la danse comme forme de résistance, alliant esthétique puissante et revendication de liberté.
lieu
durée
1h15
catégorie
- Danse |
- Musique
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19h00
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20h00
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18h00
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16h00
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20h00
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20h00
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19h00
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20h00
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18h00
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- Tarif plein35€
- Tarif Pass Chaillot / Pass Chaillot Groupe27€
- Tarif Pass Chaillot Jeune12€
(LA)HORDE est un collectif visionnaire aujourd’hui à la tête du Ballet National de Marseille. Depuis 2015, ils et elle poursuivent leur quête d’un langage chorégraphique toujours renouvelé, entre physicalité extrême et danse post-internet.
Dans Marry me in Bassiani, (LA)HORDE s’aventure dans l’univers fascinant du répertoire des danses traditionnelles de l’ensemble Iveroni, une compagnie de danse géorgienne basée à Tbilissi, rencontrée en 2018. Sur scène, (LA)HORDE invite ces danseuses et danseurs qui incarnent avec intensité cette tradition : bustes droits, pas ciselés, virtuosité saisissante. Un mariage se prépare, symbole d’un rituel puissant où le politique affleure sous la fête.
(LA)HORDE fusionne ici folklore et rythmes électroniques, rendant hommage à la célèbre boîte de nuit Bassiani, bastion de liberté au cœur de Tbilissi. Le décor, chargé de symboles, fait dialoguer histoire et modernité, tradition et résistance. Cette création questionne la mémoire du geste, son ancrage culturel et sa résonance contemporaine.
Fidèles à son audace, (LA)HORDE explore un nouveau territoire, poursuivant leur mission : faire vibrer les corps et les idées. Un spectacle où le patrimoine devient terrain d’invention, et la danse, un acte de transmission brûlant.
Amélie Blaustein Niddam
Une ode à la «liberté des corps».
Eve Beauvallet, Libération, 2019
Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, à la tête du Ballet national de Marseille, plongent leurs regards aiguisés dans la Géorgie d’hier et d’aujourd’hui.
Delphine Baffour, La Terrasse, 2019
Une rencontre endiablée entre danses traditionnelles géorgiennes et musique techno.
Thomas Hahn, Artistikrezo, 2019