Angelin Preljocaj Requiem(s)

Saison 24 25
Saison 23 24
Spectacle
Angelin Preljocaj travaille pour cette nouvelle création grand format autour de la forme du requiem. Il cite bien sûr les plus connus : Verdi, Mozart, Ligeti, Fauré mais le chorégraphe apporte toujours à ses spectacles ce pas de côté contemporain qui caractérise son travail. Voir le programme

lieu

durée

1h30

Dates
  • 20h00
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  • 18h00
  • 16h00
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  • 20h00
  • 21h00
  • 20h00
  • Tarif plein
    45€
  • Tarif Pass Chaillot
    30€
  • Tarif Pass Chaillot Jeune
    15€
  • Tarif Pass Chaillot Groupe
    30€
Séance traduite en langue des signes française
Séance avec audiodescription
Rencontrez les artistes à l’issue de la représentation
Séance scolaire
Séance sous-titre adapté

« J’avais envie de travailler sur un requiem depuis très longtemps. Et il y a toujours des événements dans la vie qui vous mènent à passer le cap, à vous atteler à tel ou tel projet. C’était le moment.

Dans chaque requiem, qu’il soit de Verdi, de Mozart, de Ligeti, de Fauré, il y a toujours des moments très singuliers, propres à chaque compositeur, qui apportent une touche très particulière. C’est pourquoi j’aimerais travailler à partir de plusieurs requiems et peut-être y ajouter une création musicale.

Avec cette pièce, je voudrais évoquer les sentiments complexes que l’on ressent à la perte d’un être cher. Ce n’est pas toujours triste et dévastant, il y a presque des moments de joie, où l’on se remémore des souvenirs formidables avec la personne, qui vous régénèrent, vous revigorent. Il y a aussi l’idée de la vie elle-même, le miracle qu’est la vie, qui nous est donnée comme quelque chose d’extraordinaire. Parfois on se sent vivre encore davantage dans ces états-là.

Ce sont toutes ces émotions, ces nuances, cette mosaïque de sentiments qui nous traversent, que j’avais envie de développer dans ce projet. »

Angelin Preljocaj
Extraits d’entretien (mai 2023)

Une oeuvre poignante : du très grand art. Agnès Izrine, La Terrasse

un magnifique ballet sur une bande-son audacieuse qui joue sur les contrastes, des élans et de la longue montée chromatique du Lacrimosa de Mozart ou metal de System of Down, pour traduire l’apocalypse des sentiments, l’anéantissement, la rage, le chaos intérieur, mais aussi l’espoir, le sentiment de se sentir en vie malgré tout qu’on perçoit à travers des battements de coeur. Marie-Eve Barbier, La Provence

Une pièce poignante, agile et mystérieuse. Alain Paire, La Marseillaise

La danse peut devenir un hymne à la joie, la mort fait partie de la vie et cette création en est un sublime et réconfortant exemple. Madame Figaro

Les interprètes de la compagnie sont exceptionnels, en duos, en pas de huit (sur un morceau baroque) ou en travail de groupe – les filles séparées des garçons ou tous unis, au sol ou en saltation, en chorus lines, perspectives, croisements et manèges. Nicolas Villodre, Cult News

«Requiem(s)» est une oeuvre sublime, accessible à tous. Pétra Wauters, Wukali

 

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