Chaillot Rencontre Danse et banlieue
Saison 25 26
Avec l’émergence de la danse hip hop, la banlieue a historiquement constitué un terrain fertile pour l’émergence de nouvelles pratiques artistiques et chorégraphiques.
En donnant la parole à des chorégraphes, danseurs et chercheurs, Chaillot propose d’ouvrir le débat et d’interroger la banlieue comme lieu d’émancipation, d’invention esthétique et de résistance, mais aussi comme espace de tension et de marginalisation. La danse de ces territoires urbains est-elle forcément assignée a des courants particuliers, ou au contraire, participe-t-elle à redessiner les contours de la création contemporaine ? Dans un contexte d’influences mondialisées, de dialogues entre disciplines et de création numérique, les invités de Chaillot - théâtre national de la Danse se demanderont si la qualification de danse de banlieue a encore un sens ou bien si à l’inverse elle est devenue obsolète pour désigner cette création chorégraphique.
En donnant la parole à des chorégraphes, danseurs et chercheurs, Chaillot propose d’ouvrir le débat et d’interroger la banlieue comme lieu d’émancipation, d’invention esthétique et de résistance, mais aussi comme espace de tension et de marginalisation. La danse de ces territoires urbains est-elle forcément assignée a des courants particuliers, ou au contraire, participe-t-elle à redessiner les contours de la création contemporaine ? Dans un contexte d’influences mondialisées, de dialogues entre disciplines et de création numérique, les invités de Chaillot - théâtre national de la Danse se demanderont si la qualification de danse de banlieue a encore un sens ou bien si à l’inverse elle est devenue obsolète pour désigner cette création chorégraphique.
lieu
durée
1h30
Dates
-
Mardi 02 déc.18h30
Gratuit sur inscription
- Natacha Gourland :
Natacha Gourland est géographe et maîtresse de conférences à l’université Évry-Paris-Saclay. Ses spécialités de recherche portent sur les pratiques culturelles et artistiques, le genre, les rapports de domination et les espaces fréquemment qualifiés de "marges" ou "périphéries" (banlieue parisienne, Outre-mer français). Elle s'intéresse en particulier à la manière dont ces espaces sont vécus, représentés et aménagés. Sa thèse, intitulée « Ballerines de banlieue » (Prix de thèse du Ministère de la culture), analyse les lieux et la pratique de la danse classique en petite couronne parisienne avec une approche intersectionnelle.
